Rock Oyster : Douglas Laing pêche le Blended Malt près des Islands
Douglas Laing met son grain de sel dans le monde du Blended Malt. Poursuivant sa recherche d’expressions régionales, il passe ici par la case insulaire pour sa quatrième expression. Ce Rock Oyster navigue vers IslaySituée au sud de l'île du Jura, Islay constitue une région à part entière et un lieu unique dans le monde du whisky. Balayées par les embruns marins elle est recouverte sur un quart de sa superficie de tourbières. Cette île, plus ensoleillée que la moyenne, possède également des terres fertiles propices à la culture de l'orge. Les distilleries ont su s'adapter à ses conditions climatiques et géologiques. La tourbe fut adoptée pour sécher le malt. Quant au caractère marin, il se retrouve nettement dans le style de ses whiskies: Ardbeg, Bowmore, Bruichladdich, Bunnahabhain, Caol Ila, Lagavulin, Laphroaig et Port Ellen (fermée en 1983). More, Jura, Arran ou encore les Orkneys et est réduit à 46,8% tout en restant naturel, sans filtration à froidProcédé consistant à refroidir un spiritueux avant filtration pour éviter les troubles visuels. More. Il ne restera plus qu’à chercher la perle dans votre verre…
Douglas Laing avait sorti en novembre 2014 une nouvelle gamme proposant des vieux single malts, les Xtra Old Particular. Pourtant il y a un autre secteur dans lequel l’embouteilleur indépendant était désireux de rester actif.
En effet, au pays du Blended Malt, Douglas Laing fait des efforts pour ne pas perdre les fruits du succès de son Big PeatLa tourbe combustible acide de couleur noirâtre est constituée de végétaux (algues, bruyère, herbe, mousse) en décomposition. Elle intervient au cours du maltage, première étape de l'élaboration des single malts écossais, afin de sécher l'orge. La nature de la tourbe varie selon les régions. Dans les Lowlands ou le Speyside la tourbe peu compacte est riche en végétaux. Sur les îles ou le long des côtes la tourbe dense est riche en éléments marins (algues, sel). L'échelle de valeur employée pour mesurer le degré de tourbage est le ppm (parts per million) de phénols. Dans le Speyside le taux moyen de phénols oscille entre 2 et 3 ppm. Sur l'île d'Islay ce taux peut atteindre 50 ppm. More, son vatted maltAssemblage de single malts provenant de différentes distilleries. More d’IslaySituée au sud de l'île du Jura, Islay constitue une région à part entière et un lieu unique dans le monde du whisky. Balayées par les embruns marins elle est recouverte sur un quart de sa superficie de tourbières. Cette île, plus ensoleillée que la moyenne, possède également des terres fertiles propices à la culture de l'orge. Les distilleries ont su s'adapter à ses conditions climatiques et géologiques. La tourbe fut adoptée pour sécher le malt. Quant au caractère marin, il se retrouve nettement dans le style de ses whiskies: Ardbeg, Bowmore, Bruichladdich, Bunnahabhain, Caol Ila, Lagavulin, Laphroaig et Port Ellen (fermée en 1983). More représentant un habitant barbu sur son étiquette, Pete.
Un travail sur les diverses régions voyait le jour à partir de ce premier pas réalisé en 2009. Ainsi, le SpeysideLe Speyside regroupe plus des deux tiers des distilleries d'Ecosse. C'est le triangle d'or" du whisky dont l'extrémité sud aboutit aux Monts Cairngorm et dont la base qui s'appuie sur le golfe du Moray est délimitée par deux rivières, à l'ouest la Findhorn et à l'est la Deveron. C'est une autre rivière la Spey qui lui a donné son nom. C'est dans ses affluents la Fiddich, la Livet ou l'Avon que la plupart des distilleries de la région puisent leur eau. La présence de nombreux cours d'eau et le climat tempéré en font une région naturellement fertile, idéale pour la culture de l'orge. Les montagnes qui l'entourent constituaient un rempart naturel pour les distillateurs clandestins. Il n'est donc pas étonnant que tant de distilleries y aient trouvé refuge. Les malts du Speyside sont généralement doux avec des arômes caractéristiques de fruits (la poire, la pomme) et de fleurs. More en 2013 avec le Scallywag et les HighlandsCette vaste région s'étendant au nord d'une ligne reliant Greenock à Dundee présente une diversité de paysages importante. En effet, les montagnes (notamment le Ben Nevis et la chaîne des Grampians) et les vallées contrastent avec les lacs des comtés de Perth et d'Aberdeen. Les Highlands du whisky se subdivisent en quatre régions. Les Highlands du sud aux single malts légers et fruités. Les Highlands de l'ouest aux single malts épicés, iodés comme le Talisker sur l'île de Skye ou salés et annonciateurs de fumée comme Oban, Ben Nevis. More en 2014 avec le Timorous Beastie avaient été les autres pierres apportées à l’édifice. Dans les deux cas, les produits étaient bien conçus, sans grande folie mais capables de convenir à un large public. En plus de cette ligne conductrice, un soin particulier avait été accordé au design des packaging.
Pour ce début 2015, c’est un small batchApparus aux Etats-Unis dans les années 1980, les small batch whiskeys résultent de l'assemblage de quelques fûts (généralement moins de 20). Si cette appellation est avant tout synonyme d'American whiskey de qualité, les Ecossais et les Irlandais produisent également ce type de whisky. More îlien, le Rock Oyster, qui hisse la grand voile. A première vue, l’esthétisme a été revu. En effet, on passe d’une simplicité monochrome menée par des totems animaliers à une étiquette plus chargée dans sa composition, plus proche de l’esquisse au niveau du trait. Moins contemporaine dans l’esprit, elle joue sur le trésor sous-marin avec sa perle mise en évidence et nous invite à sa recherche via la flottille présente sur la boîte.
Pour ce qui est du whiskyTerme générique désignant tous les whiskies produits en Ecosse, au Canada, au Japon et plus exceptionnellement aux Etats-Unis. L'origine gaélique du mot whisky est Uisge Beatha. More, on sait que sa composition provient de Jura, IslaySituée au sud de l'île du Jura, Islay constitue une région à part entière et un lieu unique dans le monde du whisky. Balayées par les embruns marins elle est recouverte sur un quart de sa superficie de tourbières. Cette île, plus ensoleillée que la moyenne, possède également des terres fertiles propices à la culture de l'orge. Les distilleries ont su s'adapter à ses conditions climatiques et géologiques. La tourbe fut adoptée pour sécher le malt. Quant au caractère marin, il se retrouve nettement dans le style de ses whiskies: Ardbeg, Bowmore, Bruichladdich, Bunnahabhain, Caol Ila, Lagavulin, Laphroaig et Port Ellen (fermée en 1983). More, Arran et des Orkneys. Comme le Timorous Beastie, il sera embouteillé à 46,8%, sans ajout de colorant ni filtration à froidProcédé consistant à refroidir un spiritueux avant filtration pour éviter les troubles visuels. More.
Le directeur de la firme, Fred Laing, commentait cette sortie : ” Rock Oyster montre le caractère insulaire archétypal fait d’une douce tourbe fumée, de vanille, de miel et de sel. Si je pouvais sélectionner juste un dram pour transporter les fans de whiskys dans les îles d’Ecosse, ce serait celui-ci. Rock Oyster siègera fièrement aux côtés de nos autres Vatted Malts au thème régional – Big PeatLa tourbe combustible acide de couleur noirâtre est constituée de végétaux (algues, bruyère, herbe, mousse) en décomposition. Elle intervient au cours du maltage, première étape de l'élaboration des single malts écossais, afin de sécher l'orge. La nature de la tourbe varie selon les régions. Dans les Lowlands ou le Speyside la tourbe peu compacte est riche en végétaux. Sur les îles ou le long des côtes la tourbe dense est riche en éléments marins (algues, sel). L'échelle de valeur employée pour mesurer le degré de tourbage est le ppm (parts per million) de phénols. Dans le Speyside le taux moyen de phénols oscille entre 2 et 3 ppm. Sur l'île d'Islay ce taux peut atteindre 50 ppm. More d’IslaySituée au sud de l'île du Jura, Islay constitue une région à part entière et un lieu unique dans le monde du whisky. Balayées par les embruns marins elle est recouverte sur un quart de sa superficie de tourbières. Cette île, plus ensoleillée que la moyenne, possède également des terres fertiles propices à la culture de l'orge. Les distilleries ont su s'adapter à ses conditions climatiques et géologiques. La tourbe fut adoptée pour sécher le malt. Quant au caractère marin, il se retrouve nettement dans le style de ses whiskies: Ardbeg, Bowmore, Bruichladdich, Bunnahabhain, Caol Ila, Lagavulin, Laphroaig et Port Ellen (fermée en 1983). More, Scallywag du SpeysideLe Speyside regroupe plus des deux tiers des distilleries d'Ecosse. C'est le triangle d'or" du whisky dont l'extrémité sud aboutit aux Monts Cairngorm et dont la base qui s'appuie sur le golfe du Moray est délimitée par deux rivières, à l'ouest la Findhorn et à l'est la Deveron. C'est une autre rivière la Spey qui lui a donné son nom. C'est dans ses affluents la Fiddich, la Livet ou l'Avon que la plupart des distilleries de la région puisent leur eau. La présence de nombreux cours d'eau et le climat tempéré en font une région naturellement fertile, idéale pour la culture de l'orge. Les montagnes qui l'entourent constituaient un rempart naturel pour les distillateurs clandestins. Il n'est donc pas étonnant que tant de distilleries y aient trouvé refuge. Les malts du Speyside sont généralement doux avec des arômes caractéristiques de fruits (la poire, la pomme) et de fleurs. More et Timorous Beastie des HighlandsCette vaste région s'étendant au nord d'une ligne reliant Greenock à Dundee présente une diversité de paysages importante. En effet, les montagnes (notamment le Ben Nevis et la chaîne des Grampians) et les vallées contrastent avec les lacs des comtés de Perth et d'Aberdeen. Les Highlands du whisky se subdivisent en quatre régions. Les Highlands du sud aux single malts légers et fruités. Les Highlands de l'ouest aux single malts épicés, iodés comme le Talisker sur l'île de Skye ou salés et annonciateurs de fumée comme Oban, Ben Nevis. More – en espérant qu’il contribue à la croissance continue de Douglas Laing “.